1. Donnez-lui une bonne raison de vous approcher
Puisque votre motivation vit en vous (même si vous ne le savez pas encore), vous et elle n’êtes pas si différent·es : elle aussi est curieuse ! Narguez-la avec un secret qu’elle voudrait bien connaître, et elle viendra picorer dans votre main. Ce secret, typiquement, que pourrait-il être ? Tout simplement votre bonne raison à vous, et à vous seul·e, de vous (re)mettre au sport. En effet, plonger la tête la première dans le grand bassin des endorphines est louable, certes.
Mais pour ne pas couler, il vous faut une bouée à laquelle vous raccrocher en cas de baisse de moral : votre bonne raison. Votre objectif est de perdre un peu de poids ? Vous avez une furieuse envie de courir votre premier dix kilomètres, et envisagez même un marathon ? Le·a collègue avec le·aquelle vous partagez votre bureau est tellement mordu·e de zumba ou de volley-ball que vous souhaitez à tout prix y goûter ? Qu’il en soit ainsi. Et surtout, ne vous interdisez pas d’avoir plusieurs bonnes raisons de faire du sport. Plus on est de fous, plus on rit !
Mais veillez tout de même à ne pas vous éparpiller. Avant de vous lancer dans ce qui pourrait bien être l’aventure de votre vie, mesurez combien cet·s objectif·s compte·nt pour vous. Effectivement, envisager l’importance que vous souhaitez accorder à vos bonnes raisons, permettra à votre motivation de prendre, elle aussi, sa place dans la boucle de la réussite. Et n’oubliez pas : ne vous fixez aucune limite (du type, “ je n’ai pas le temps pour faire du sport ”, “ je me connais, je n’arriverai pas à garder la motivation ”), car une raison en vaut toujours la peine. Encore plus quand elle est bonne.